Les signes officiels de qualité du Périgord tiennent salon à Paris


Claude Hélène Yvard

Les signes officiels de qualité du Périgord tiennent salon à Paris

Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 28/02/2013 PAR Claude-Hélène Yvard

Le Salon international de l’agriculture se fait aussi « faire valoir » des produits du terroir. Le département de la Dordogne n’est pas en reste. Pendant deux jours, les 27 et 28 février, le public parisien a pu déguster de délicieux toasts de foie gras du Périgord, de la franquette, du cabécou, de la barbe à papa au foie gras ou du pain perdu au foie gras, clin d’oeil à la journée des enfants. Pour la première fois était également présentés le marron du Périgord mais les organisateurs n’avaient pas oublié les biens connus appellations viticoles de Bergerac. Et pendant deux jours, le stand du Conseil général de la Dordogne, intégré à celui de la région Aquitaine, n’a pas désempli. Les démonstrations culinaires de Philippe Mesuron, ancien de Masterchef et Christian Borini, chef argentin restaurateur à Issigeac ont séduit le plus grand nombre.
« Voir rassembler ces filières d’origine et de qualité sur une manifestation de cette importance et l’expérience vécue lors du dernier salon international du livre gourmand de Périgueux, nous a incité à nous unir, à rassembler nos forces pour travailler ensemble, » explique Phiilippe Colas, producteur d’agneau du Périgord à Peyrignac. C’est ainsi que le salon de l’agriculture a marqué l’acte de naissance de la fédération départementale des signes d’origine et de qualité de Dordogne et du Périgord.

Cinq filières. Cette association réunit cinq filières :  les producteurs d’agneaux du Périgord, qui bénéficient depuis décembre 2010 d’une identification géographique protégée, la noix, le foie gras, les vins de Bergerac et la fraise du Périgord. « Notre volonté est de poursuivre ensemble diverses actions de promotion collective, de mutualiser nos moyens afin de défendre nos modes traditionnels  de productions, de renforcer l’image de notoriété du Périgord dans le domaine de la gastronomie. Cette union crée une dynamique, poursuit Philippe Colas, président de la fédération.  « Nous travaillerons en partenariat avec le Conseil général, la Chambre d’agriculture afin de devenir l’interlocuteur privilégié des filières de qualité. C’est notre souhait. »
 Trois  autres filières se sont portées candidates l’association « les fermiers du Périgord » pour le poulet du Périgord, l’union interprofessionnelle de la châtaigne et du marron pour le Marron du Périgord et l’association interprofessionnelle Cabécou du Périgord.

Partagez l'article !
Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
Laissez vos commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

On en parle ! Dordogne
À lire ! SAVEURS D'AQUI ! > Nos derniers articles