Il fallait trouver une solution. La La Fédération française de hockey sur glace a alors proposé que la rencontre s’effectue ce jour-même à 20 heures,, toujours en cette patinoire unique en France, en bordure de plage à La Barre. La Ville a décidé de prendre les choses en main en coordination avec la direction de la patinoire; Trouver absolument une surfaceuse de secours. On a pensé à Saint-Sebastien à proximité de la frontière, mais ceux-ci étaient d’accord avec option d’achat. Il n’y a pas de petits profits. Alors une, à fonctionnement thermique, à l’opposé de celle électrique qui était en service à Anglet a été commandée en provenance de Clermont et est arrivée dans l’après-midi à Anglet, de même qu’un technicien de la société prestataire pour la maintenance des appareils, basée à Grenoble pour se pencher sur le cas de celle d’Anglet.
La Ville d’Anglet a pris l’ensemble de cet incident en chargeLa Ville d’Anglet et son maire, Caude Olive qui devait participer en fin de matinée au Parlement de navarre de Pau à l’élection du président du Conseil départemental a décidé de prendre en charge l’ensemble des frais occasionnés au club de Bordeaux en raison de ce regrettable incident. Ainsi, a-t-il décidé d’assurer l’hébergement de l’équipe de Bordeaux pour la nuit de mercredi à jeudi. Comme il a fait affréter trois bus pour permettre aux supporters d’effectuer l’aller-retour entre Bordeaux et Anglet et le dédommagement de la journée perdue pour ceux des joueurs bordelais absents de leur travail aujourd’hui.
« La surfaceuse de la patinoire de la Barre avait fait l’objet d’une révision complète à l’occasion du match international opposant la France à la Slovénie en décembre 2014, déclarait-il et a connu plusieurs interventions depuis. La dernière à la date du 5 mars 2015. La Ville a engagé 26 000 euros pour l’ensemble de ces opérations d’entretien. »
Ce soir, dès 18h30, il y avait foule devant la patinoire pendant que les deus surfaceuses s’entraînaient à leur tour. A 20 heures le match commençait.
Un match haletant qui se termine en mort subite pour les Angloys
Ces trois tiers temps auront été haletant et disputés dans un excellent esprit, les avatars angloys et les bonne volonté qui les a accomagnée aura fait consensus. Repartis les compteurs à zéro dans une patinoire archicomble et passionnée que les supporters angloys et bordelais avait pris d’assaut une heure trente avant le match, les hommes de Dimet montraient qu’ils étaient sur leur glace e, comme la veille, ouvraient le score au remier tiers temps. Le second puis le troisième vont se traduire par une course poursuite qui s’échève sur un score de parité de 3-3 à la fin du temps règlementaire.
Après dix minutes de pause pour faire souffler les joueurs, il ne faudra qu’1’26 » aux Boxers bordelais pour trouver le trou de souris qui fera la différence et leur permettre d’obtenir ce passeport si recherché pour la Coupe Magnus la saison prochaine. Paradoxalement, c’est un hockeyeur formé à Anglet, Thomas Decock qui a crucifié les Angloys. Après être passé par Dijon celui-ci qui joue ailier a rejoint les Boxers. Son père, ancien hockeyeurs de l’Hormadi, éducateur de la ville était lui aussi un ancien joueur du club.
Dimet, le « capitaine courageux » qui a mené cette équipe en finale est allé saluer le premier ses vainqueurs.