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PUBLIÉ LE 21/06/2013 PAR Claude-Hélène Yvard « C’est est un rendez-vous unique en France sur l’évolution de la distribution alimentaire », explique Claude Bérit-Débat, sénateur de la Dordogne et président de la communauté d’agglomération périgourdine (la CAP), qui porte le projet. L’objectif : « anticiper la distribution alimentaire de demain ». Pour débattre des évolutions de la distribution alimentaire, la CAP a invité une trentaine d’intervenants, des experts nationaux pour débattre de la prise en compte de la notion de proximité dans l’acte d’achat, de l’approvisionnement en local, des marques territoriales et de ses enjeux pour les territoires, ou encore du locavorisme. Deux conférences plénières et cinq tables rondes aborderont ces questions à travers des exemples concrets.
« Aujourd’hui, les consommateurs sont à la recherche de sens dans leur acte d’achat, qui se traduit par un besoin de proximité, Quelles solutions doivent être apportées pour répondre à ces nouveaux comportements ? Ce sera justement le coeur des débats, » précise Claude Bérit-Debat. Quatre parcours thématiques seront proposés aux congressistes, en fonction de leurs attentes : la vente, l’approvisionnement, le numérique et les marques de territoire.
Le numérique en lumièreCette première édition du Fodali met particulièrement en lumière le numérique, à travers la programmation, avec une table ronde, des ateliers. Le 27 juin, à 15 h, la plénière de clôture traitera : « le numérique : vraie ou fausse révolution du commerce alimentaire de demain. »
Il ne s’agit pas d’un salon mais d’un lieu de débat, d’information et de rencontres à destination des professionnels de toute la filière : producteurs, industriels, restaurateurs, distributeurs, institutionnels … », a précisé le sénateur.
A quelques jours de ce forum, plus de 315 personnes, de toute la France, sont inscrites. Jean François Larenaudie, le vice président de la CAP, en charge de l’économie, y voir aussi un excellent moyen de promouvoir le département de la Dordogne et de faire mieux les entreprises agroalimentaires, nombreuses sur le territoire, et l’Institut du goût du Périgord, un outil unique. « Nous espérons à terme pouvoir organiser ce rendez -vous tous les deux ans, précise Jean François Larenaudie.
