Beauty success s’attaque au marché de la parapharmacie


Beauty success

Beauty success s’attaque au marché de la parapharmacie

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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 14/03/2013 PAR Nicolas César

Après avoir initié en 2012 le concept de « beauté globale » associant dans un même magasin la parfumerie et l’institut de beauté, Beauty success étend son activité à la parapharmacie. Après deux ans de tests en succursale, 4 magasins ont déjà été ouverts à Villefranche-de-Rouergue (Aveyron), à Sélestat (Bas-Rhin), à Saint-Claude (Jura) et à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Des produits d’hygiène, de cosmétique et des compléments alimentaires y sont proposés, afin d’élargir la clientèle. « C’est une offre à part entière. Il y a deux portes d’entrée distinctes, mais avec la possibilité de passer de l’un à l’autre des magasins », précise Stéphanie Chalard, directrice de l’offre à Beauty Success. Pour elle, aujourd’hui, « le marché de la parfumerie est saturé ».

4 millions d’euros d’investissement par anL’objectif est d’ouvrir environ dix magasins en parapharmacie par an (en incluant les franchisés) jusqu’en 2018, « en fonction des opportunités ». Avec à chaque fois cinq salariés et donc des recrutements. Ce qui représente un investissement annuel sous enseigne de 4 millions d’euros. A terme, « l’ambition est de réaliser 35% du chiffre d’affaires en parapharmacie », avance Vincent Bénard, directeur du développement. Parallèlement, cette année, six millions d’euros vont être investis pour rénover une quinzaine de magasins et les adapter au nouveau concept de « beauté globale ». D’ici fin 2014, 80 % du réseau de parfumerie doit être habillé à ses couleurs. L’enseigne de parfumerie, créée en 1995, implantée essentiellement dans les petites et moyennes agglomérations, est le quatrième acteur français avec 7% de parts de marché. En 2012, Beauty success, qui emploie 1 600 salariés (avec les franchisés) répartis dans 280 points de vente, a réalisé 230 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le capital de cette entreprise familiale est détenu à 80% par Philippe Georges, son PDG, et son frère, Christophe, vice-président de la société. Le reste appartient à deux fonds régionaux, Océan Participations, (filiale du Crédit Mutuel de Vendée) et Ouest Croissance (filiale de la Banque Populaire).

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