En Lot-et-Garonne, la femme mise en avant à la préfecture !


SR

En Lot-et-Garonne, la femme mise en avant à la préfecture !

Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 07/03/2014 PAR Sybille Rousseau

Ebéniste de formation, Sabrina, âgée de 23 ans, doit se reconvertir professionnellement.

Sabrina 23 ans

« Je suis passionnée par ce métier, mais à cause de graves problèmes de santé, je suis contrainte d’y renoncer la mort dans l’âme ». Sabrina n’est pas une femme qui baisse les bras facilement. Déterminée et volontaire, aujourd’hui, elle souhaite devenir agent cinophile de sécurité « car j’aime beaucoup les chiens. Aussi, j’ai toujours apprécié les métiers d’homme, car je ne me vois pas travailler derrière un bureau comme secrétaire ! ». Pour connaître les formations dispensées dans ce secteur, Sabrina a participé à une plate-forme d’orientation à l’accès aux métiers à la mission locale de Nérac, pendant trois mois. La jeune femme doit donc obtenir un certificat de la préfecture l’autorisant à exercer ce métier ainsi qu’un certificat d’aptitude dispensé à Sabres dans les Landes et à Blanquefort en Gironde. « Pendant 380 jours, nous travaillons avec le chien et pendant 70 heures, nous apprenons le métier d’agent de sécurité. En clair, en un an, je suis formée ! ». Sabrina débute la formation en octobre prochain.

 

 

Assistante de vie aux familles, Nathalie, à 25 ans, se réoriente vers le métier de technicienne automaticienne.Nathalie 25 ans

« Le métier d’assistante de vie, je l’ai fait par défaut, car il fallait que je travaille rapidement. » Pour connaître sa nouvelle voix professionnelle, Nathalie réalise un bilan de compétences. « A l’issue de ce bilan, j’ai décidé d’être technicienne automaticienne. » Le technicien automaticien est la personne qui s’occupe de la conception informatique et électronique des machines d’une entreprise. « Ce travail me plaît bien car il allie informatique, mécanique et électronique. Aussi, j’aime beaucoup réfléchir et apprendre. Ce métier répond donc à tous ces critères. » Mais pour y arriver, Nathalie doit faire une remise à niveau. « Ayant passer un bac ES (économique et social), je ne possède pas toutes les connaissances d’un bachelier scientifique. Une fois la remise à niveau faite, à l’université d’Agen, je suivrai un DUT en génie électrique et informatique industrielle, à Draguignan ». Dans trois ans donc, Nathalie sera technicienne automaticienne « et si je ne trouve pas de travail en France, ce n’est pas grave, j’irai à l’étranger ! », conclut-elle, déterminée.

 

Partagez l'article !
Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
Laissez vos commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

On en parle ! Lot-et-Garonne
À lire ! SOCIÉTÉ > Nos derniers articles