Le festival de rue Bastid’Art prend ses quartiers à Miramont-de-Guyenne (47).


Ville de Miramon-de-Guyenne

Le festival de rue Bastid'Art prend ses quartiers à Miramont-de-Guyenne (47).

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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 31/07/2010 PAR Laura Jarry

La charmante Boîte à Mézigue.
Pour cette première soirée, la lune s’était parée de son costume rouge de clown pour s’accorder au cirque musical, la Boîte à Mézigue. L’accent chantant des protagonistes qui utilise l’italien comme une arme humoristique rappelle Roberto Benigni et leurs escarmouches une commedia dell’arte.
Ce cirque est alors interprété par des gens qui se vouent à l’art de la rue, ceux qui ont décidé de sortir des sentiers battus et ne vivent que pour être écoutés, qui recherchent l’émerveillement et non les applaudissements. Les chapeaux volent dans les airs, l’échelle, que la señorina se hâte d’amener pour raccrocher le lampadario, bascule mais ne tombe jamais, les couteaux sont lancés avec calme et dignité, les cloches tintent et harmonisent les humeurs… En effet, la Musique occupe la première place dans ce spectacle: tuba et accordéon, guitare et flûte traversière, s’accordent pour parler du Venezuela, de la Russie et faire valser les jeunes amoureux.

Un festival de rêve.
Une entrée en matière de choix donc pour ce festival prometteur en originalité et en facétie. Nombreuses compagnies se disputent la place Jacques Humeau pour exercer leur art et conter leurs histoire : avec des noms imprononçables comme Akoréacro, ces artistes mêlent don, habilité et intelligence du bon mot pour surprendre et amuser. Du trapèze burlesque avec les Morphales Cambrées au conte musical et acrobatique des Acrostiches, il n’y a qu’un pas : celui des rues de Miramont de Guyenne qui accueille ses visiteurs avec plaisir, en continuant le spectacle dans son centre, ses ruelles et ses bars.
Plusieurs représentations vont être faites pour chacun de ses artistes, de quoi rassurer les retardataires, et chacune sera unique et différente, de quoi s’attarder et prolonger le rêve une nuit supplémentaire.

Plus d’informations sur le site de Miramont de Guyenne.

Laura Jarry.

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