François Adamski, symbole d’une nouvelle génération de grands chefs à Bordeaux


Nicolas César

François Adamski, symbole d'une nouvelle génération de grands chefs à Bordeaux

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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 07/10/2011 PAR Nicolas César

Chef toqué aux multiples médailles, sacré meilleur ouvrier de France en 2007  et champion du Bocuse d’or en 2001, François Adamski avait tout pour réussir, le talent, la fibre pour le métier. Et très vite ce chti, originaire du Nord-Pas-de-Calais s’est senti dans ses habits à Bordeaux. D’ailleurs, lorsqu’il parle de la ville, ses propos sont élogieux. Deux ans après son arrivée, les résultats sont là. « Le bilan est très bon. Le gastro fonctionne très bien le soir. Il faut s’y prendre une semaine ou quinze jours à l’avance pour avoir une table », se réjouit-il. Les prix se veulent compétitifs avec notamment un menu affaires à midi à 37 euros avec amuses bouche, entrée, plat, ou plat, dessert, 2 verres de vin, 1 café… Côté bistrot, c’est aussi une réussite. Il en veut pour preuve qu’il est désormais ouvert 7 jours sur 7 depuis juin. Les menus du midi à 21 euros, entrée-plat ou plat-dessert ont du succès. Son secret ? « J’ai envie de faire du bien et de faire plaisir aux gens en proposant toujours des produits frais, jamais de surgelés, ni de plats préparés à l’avance », explique François Adamski. Et, « chaque jour est une remise en question », assure ce chef, qui se dit « perfectionniste ».  

« Bordeaux a un énorme potentiel »
C’est surtout, un style qui plaît, à la fois classique et audacieux. Ainsi, le chef n’hésite pas à sortir des sentiers battus en proposant du vin blanc pour accompagner un fromage ou du rouge avec un poisson. Parmi les spécialités du chef, nous vous conseillons le bar poché au nori. François Adamski veut s’inscrire à Bordeaux dans la durée. « Il y a deux ans, je suis arrivé en tant que chef salarié, désormais je suis chef associé », précise-t-il. Quant à la concurrence, pour lui, ce n’est pas un problème. « Cela crée de l’émulaion. Bordeaux a un énorme potentiel », conclut-il, plein d’optimisme.

                                                                                                                         Nicolas César

Crédit photo : NC

Plus d’infos sur http://www.bordeaux-gabriel.fr

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