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PUBLIÉ LE 27/06/2013 PAR Thomas GuillotLa pluie. C’était le démon que l’organisation redoutait pendant tout cet horrible mois de juin mais il semblerait que le festival soit béni par les dieux. Tout se déroule comme sur des roulettes. En atteste les nombreuses photos de montage sous le soleil que le festival partage sur les réseaux sociaux. Chez Aqui aussi on embrasse les nouvelles technologies. Fini le journalisme à la papa. Parce qu’en plus du traditionnel compte-rendu quotidien sur le site avec des extraits d’interviews, des effets spéciaux et de belles images. Cette année, on fait dans le 2.0 avec un diaporama sur notre page Facebook avec les meilleures photos de la veille. Plus une couverture en directe sur le compte twitter d’Aqui ou sur celui du valeureux journaliste si jamais il y a embrouille (on en est encore aux phases de test) : petites phrases, photos de concert floues, une dangereuse plongée dans les coulisses du Garorock.
Le défi de cette 17ème édition est presque plus difficile que la relocalisation puisqu’il s’agit ici de répéter les bons résultats de l’édition précédente tout en corrigeant les quelques erreurs. En arrondissant les angles, on considérera le remplacement de David Guetta par Make The Girl Dance dans le rôle de l’invité dont on ne voulait pas comme un honnête pas en avant. Et ensuite, fini l’isolationnisme de la scène du Trec par rapport au reste de la prog. Cette année on pourra y entendre du rock, du reggae en plus de la musique électronique. Pour le reste, on n’a plus qu’à se relire les recommandations de l’année dernière, espérer que les prédictions de Météo France soient justes et faire son petit programme en n’oubliant pas de soutenir les groupes aquitains (Crane Angels, JC Satan et Bengale). A demain.
Toutes les infos sur le site du Garorock.
