27e FIPA de Biarritz – ECLA Aquitaine en première ligne


F.D.

27e FIPA de Biarritz - ECLA Aquitaine en première ligne

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 23/01/2014 PAR Felix Dufour

Hier après-midi, autour du président de l’association Hugues Le Paige, et de la vice-présidente de la région Anne-Marie Cocula, le bureau était au complet et la salle copieusement garnie pour les rapports de Cedric Pellissier, directeur général d’ECLA depuis deux ans et Pierre Da Silva, chargé de mission cinéma et audiovisuel. Sans oublier les délégués départementaux.

La région Aquitaine est une de celles qui accordent les aides les plus importantes, devant les régions Rhône-Alpes et PACA, et leur montant total s’est élevé à 3 425 000 euros en 2013, dont 2 720 000 euros de la seule Région, 193 000 euros de la part des Conseils généraux de Dordogne, 190 000 des Landes, 50 000 du Lot-et-Garonne et 272 000 des Pyrénées-Atlantiques. Avec la participation des départements ce sont  1 271 000 euros qui ont été distribués pour la production audiovisuelle (+33% par rapport à 2012), 3 long métrages ont été co-financés avec les départements, 11 courts métrages ont été co-financés par la Région et 1 département et 2 fictions TV ont bénéficié de l’infra régionalité. En outre, 10 structures aquitaine ont été aidées, 24 dossiers ont été déposés à ECLA en 2013 (66 en 3 ans).

Enfin sans entrer dans le détail des départements, ce sont les Pyrénées-Atlantiques qui ont « aidé » le plus avec 4 court métrages, 2 longs métrages, 1 fiction TV et 7 documentaires.

Un problème de communicationTous ces chiffres digérés, ce sont en fait lors des questions des producteurs et réalisateurs dans la salle qu’est apparu un malentendu. Apparemment les deux partenaires ECLA et Région n’avaient pas communiqué sur les nouvelles dispositions du dispositif d’aide régionale. Résultat, quelques sociétés de productions sont tombées des nues sur la recevabilité de leur dossiers pour l’année à venir. Le sujet était plus avancé du coté de la Région que de celui d’ECLA, ce qui a suscité quelques remarques de la part des producteurs inquiets de ne pas avoir été informés en amont. Mais le temps du Festival devrait régler le problème. Une fois les questions terminées dans la salle le Conseil d’administration de l’association est allé se réunir d’urgence avec les représentants de la Région afin d’accorder les violons, débordant largement sur le temps du cocktail qu’ils organisaient en fin d’après-midi…

Des échanges Aquitano-marocainsMais ECLA ne se contente pas de faire de la redistribution de subsides. L’association est également actrice du FIPA. Ainsi depuis ce matin elle participe à un échange entre trois réalisateurs et producteurs marocains et trois producteurs et réalisateurs aquitains. « Nous accompagnons aussi les projets, explique Cedric Pellissier. Ces personnes vont faire une forme d’examen blanc, un oral pour défendre leur projet devant un panel de professionnels dans le cadre de Rencontres du documentaire Aquitaine Fidadoc. Ca leur permet de mesurer si leur projet tient la route. Nous sommes là aussi pour faire monter en puissance des oeuvres en devenir. « 

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