1990-2012 : un bilan plus que positif pour Agropole


AGROPOLE

1990-2012 : un bilan plus que positif pour Agropole

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 29/04/2013 PAR Sybille Rousseau

@qui ! – La technopole d’Agen fut créée en 1990 par le président du département de l’époque Jean François-Poncet et par la Chambre de Commerce et d’Industrie. C’est la seule technopole née en milieu rural. C’était un sacré pari !
Alain Brugalières –
Au départ, c’est vrai, des hommes ont eu ce courage-là. Ils ont investi de l’argent public sur une idée, un site et des terrains, ce qui était très important. Et, aujourd’hui, on ne peut que constater sa réussite. Mais, il a fallu travailler dur pour obtenir ce résultat-là, car c’est comme ça qu’on y arrive en Lot-et-Garonne ! Nous sommes une terre d’entrepreneurs avec une volonté et une cohérence.

@ ! – Le 26 avril dernier, vous avez tenu l’assemblée générale d’Agropole. Ce fut l’occasion pour vous de faire un bilan des 22 années d’exercice de la technopole. Pourquoi ce bilan ?
A.B –
Ce bilan nous permet de nous situer par rapport au passé mais aussi de poser les problèmes d’avenir : comment développer ces sites, comment pouvoir, demain, développer des emplois autour des entreprises, comment attirer de nouvelles entreprises. Aujourd’hui, la France est dans le creux de la vague en matière d’investissements industriels. Mais, nous, à Agen, nous avons la prétention de ne pas nous endormir et d’être capable de rebondir pour trouver de nouvelles idées, afin d’attirer des entreprises porteuses d’emplois ou de projets qui nous intéressent. Des projets, autour de l’agroalimentaire et du développement durable, qui, je crois, proposeront demain des métiers innovants.

@ ! – Aujourd’hui quelles sont vos priorités pour Agropole ?
A.B –
Nos priorités sont toujours les mêmes : créer de l’emploi et fixer autour de l’agglomération agenaise de nouveaux emplois pérennes. Mais également penser à ce qui va se passer avec la ligne TGV ou sans la ligne TGV et avec la création de nouvelles zones autour d’Agen. Il y a beaucoup de choses à cristalliser et à réfléchir conjointement avec le Conseil général et les financeurs. Aussi, il va falloir encore plus réfléchir sur l’entreprise innovante parce qu’aujourd’hui la consommation stagne. Donc nous aurons surtout besoin d’idées innovantes et internationales.

@! – Et comment Agropole est-elle perçue au plan national ?
A.B –
Agropole est la première pépinière agroalimentaire au point de vue national. Elle est connue et reconnue et n’a plus à faire ses preuves. Elle est très bien perçue en général des pouvoirs publics, malgré quelques critiques ici ou là ou des doutes, car en France tout le monde doute de tout le monde. Mais ne regardons pas les critiques du passé et tournons-nous plutôt vers l’avenir et ses nouveaux challenges !

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