Figure du mouvement dit de « bad painting », Jean-Luc Blanc expose des œuvres le plus souvent figuratives et de grand format qui trouvent leur origine dans les images véhiculées par les médias (images de film, presse, revues ou encore cartes postales). Extraits de leurs contextes les motifs isolés sont retravaillés sur papier ou sur toile, recadrés, avec plusieurs traitements qui vont du texturage façon croûte au lissage cosméto-publicitaire. Ce protocole donne au travail de l’artiste un caractère ambigu et énigmatique.