Merci et vive le Net

L'occasion s'offre à nous, aujourd'hui de vous remercier. En effet vous ne cessez de venir, chaque jour plus nombreux, aux rendez vous que nous vous proposons. C'est un formidable encouragement, non seulement à persévérer, mais bien plus encore à améliorer la qualité des informations et des rubriques que nous publions.

Certes nous ne prétendons pas être exhaustifs. Nos moyens ne nous l'autorisent pas et la gratuité de l'information, surtout si celle-ci s'accompagne d'une exigence de qualité, a bien entendu un coût. Il nous faut donc choisir, et nous continuerons de le faire avec l'ambition d'être plus proches de la vie régionale et de sa diversité. Mais notre regard ne saurait se limiter, pour autant, au périmètre de l'Aquitaine, aussi vaste soit-elle. C'est pourquoi vous trouverez ici des correspondances, des "vu de" Madrid ou Bruxellespar exemple, des portraits et interviews , des enquêtes. Et un suivi, bientôt, d'un des moments les plus forts de notre démocratie: les élections municipales. Une attention toute particulière aussi à la vie culturelle, si riche de possibilités, comme en témoigne, la programmation du TnBA, le Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine qui nous fait l'honneur de nous accompagner; au livre auquel en liaison avec notre partenaire, la Librairie Mollat d'une part, l'ARPEL, l'Agence régionale pour l'Ecrit et le Livre en Aquitaine, d'autre part, nous souhaitons faire toute sa place, notamment à la faveur du prochain salon de Paris. Aux Sciences et à l'Environnement qui méritent d'autant plus de curiosité que le potentiel de recherche est, ici, souvent méconnu et que notre patrimoine naturel est un véritable joyau à respecter.Aux saveurs et à la gastronomie.

Vous l'aurez compris: nous avons le souhait d'être, à notre façon avec humilité et passion des témoins actifs de la vie et du fonctionnement de notre société. Dire nos coups de coeur et pousser des coups de gueule, par exemple, quand les valeurs de la démocratie sont maltraitées.

Merci encore de votre fidélité. Et vive 2008!

Joël Aubert