Rentrée: Alain Juppé en visite à l’école provisoire Alfred Daney


Solène Méric

Rentrée: Alain Juppé en visite à l'école provisoire Alfred Daney

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 05/09/2017 PAR Solène MÉRIC

C’est dans le secteur des Bassins à Flot, par une visite du nouveau groupe scolaire Alfred Daney, rue Jean Hameau, qu’Alain Juppé est venu célébrer la rentrée scolaire, ce mardi 5 septembre. Composé de 10 classes, ce groupe scolaire primaire et élémentaire n’est pas tout à fait comme les autres. Bien que bardée de bois, bénéficiant de la climatisation, et de diverses installations qui séduisent en couleurs les parents d’élèves et l’équipe enseignante, c’est ici une école temporaire, qui accueille les écoliers. Les travaux d’un coût de 6 M€ ont d’ailleurs été achevé il y a quelques semaines à peine.
Face à la démographie galopante, un second groupe scolaire temporaire (Abadie) a aussi ouvert ses portes rive droite. Il se destine à accueillir 9 classes. Deux ouvertures auxquelles s’ajoute, en cette rentrée, l’école élémentaire Barbey, qui entre dans le cadre du programme de construction d’une dizaine d’écoles, sur les 2 à 3 prochaines années. Des constructions qui tentent de répondre à la croissante démographie de la ville. « Bordeaux accueille 17 000 enfants dans les écoles publiques et 4900 dans les écoles privées, et le nombre augmente année après année » a d’ailleurs souligné Alain Juppé, non content de saluer de nombreux « néo bordelais » parmi les parents d’élèves venus accompagner leurs enfants ce mardi matin. L’occasion de leurs rappeler « l’effort annuel de la ville de plus de 60M€ en direction des écoles, personnel municipal compris ». Pour ce qui est de l’école Alfred Daney, la structure temporaire sera en place jusqu’à 2020, date prévue de l’ouverture des deux groupes scolaires évolutifs programmés sur le Bassin à Flot, indique Emmanuelle Cuny, Adjointe au Maire en charge des écoles.
Si Alain Juppé a salué l’initiative nationale en cours de diminuer le nombre d’élèves dans les petites classes ; sur la question des rythmes scolaires, il a fait part de son choix de ne pas interrompre le rythme de 4,5 jours dès cette rentrée arguant de sa volonté, « d’échanger d’abord avec les parents d’élèves sur une durée de 2 ou 3 mois, afin de prendre la mesure des effets positifs ou non de ce dispositif sur les enfants et de savoir quel rythme mettre en place pour la rentrée 2018 ».

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