Législatives 2012 : Alain Rousset, Président du Conseil régional d’Aquitaine, candidat à sa succession sur la 7ème circonscription de Gironde


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Législatives 2012 : Alain Rousset, Président du Conseil régional d'Aquitaine, candidat à sa succession sur la 7ème circonscription de Gironde

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Publication PUBLIÉ LE 10/11/2011 PAR Solène MÉRIC

Si le scrutin législatif est un vote uninominal, c’est pourtant une véritable équipe qui entourait Alain Rousset lors de son point presse annonçant sa candidature à sa propre succession à la députation. Etaient présents, les Maires de Pessac, Cestas, et Canéjan, Jean-Jacques Benoît, Pierre Ducout et Bernard Garrigou, les Vice-présidentes du Conseil général, Edith Moncoucut et Anne-Marie Keiser, le conseiller régional, Patrick Guillemoteau, ainsi que les secrétaires de section de Pessac, Cestas et Gradignan.La preuve par l’image, Alain Rousset a le soutien de ses pairs sur le territoire qu’il convoite à nouveau. Une 7ème circonscription de Gironde qui a d’ailleurs un peu changé avec le nouveau découpage électoral : elle perd le canton de La Brède, mais conserve ceux de Pessac 1, Pessac 2 et Gradignan. Et le candidat, qui plaide pour la « proximité » avec le territoire et ses acteurs, de faire la liste des « richesses particulières » de cette circonscription : « l’université, le tissu industriel exceptionnel, le tissu associatif d’une grande richesse, … » Selon lui, le « député ne doit pas être un élu hors sol ». Un argument qui lui va bien, puisque député sortant, il a aussi été Maire de Pessac, conseiller général du canton de Pessac 2 et Président de la CUB. « Ce sont ces racines qui m’ont impulsé à ce combat ! » insiste-t-il.

Alain Rousset, candidat à sa succession aux élections législatives sur la 7ème circonscription de Gironde, entouré de ses soutiens


« Quand on est parlementaire dans l’opposition, on est frustré »
Sans réellement faire état d’un bilan, il rappelle quelques batailles menées dans la circonscription auprès des élus territoriaux dont l’obtention de la réhabilitation de la prison de Gradignan. Egalement cités, les combats menés au sein de l’assemblée nationale, desquels il retient que « quand on estparlementaire dans l’opposition, on est frustré ». Exemple avec la loi territoriale, les boucliers fiscaux…C’est pour ça qu’outre l’atout de la proximité, Alain Rousset met en avant le rôle d’anticipation dont doit savoir faire preuve un député,et d’autant plus dans la perspective d’un nouveau gouvernement, et d’une nouvelle majorité.« Comment on réindustrialise le pays ? Comment l’agriculture va rependre en charge l’environnement, quelles relations on établit entre l’université et l’industrie, comment on lutte contre l’absentéisme scolaire, comment on organise l’accueil en hospice ? »Autant d’enjeux, sur lesquels, il se sent force de proposition.

Photos: Aqui.fr

Solène Méric

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