French Tech Bordeaux : les candidatures se poursuivent


De nouveaux noms s'ajoutent à la liste des candidats. Mathilde Le Roy, Florent Pitoun, candidatent pour le collège entrepreneur, Maud Clérice, pour le collège entrepreneur tremplin et Maxime Doreau pour le collège représentant grand groupe.

Mathilde Le Roy, Florent Pitoun, Maud Clérice et Maxime Doreau, 4 candidats pour le conseil d'administration de la French Tech Bordeaux.Leslie Casties | Aqui

Mathilde Le Roy, Florent Pitoun, Maud Clérice et Maxime Doreau, 4 candidats pour le conseil d'administration de la French Tech Bordeaux.

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Temps de lecture 4 min

Publication PUBLIÉ LE 20/06/2023 PAR Camille Juanicotena

La rédaction d’Aqui.fr a déjà dévoilé 4 candidatures en lice pour le collège entrepreneur. Nous poursuivons, ici, avec 4 nouveaux profils en lice pour 3 collèges différents : entrepreneur, tremplin, grand groupe.

COLLEGE ENTREPRENEUR

Mathilde Le Roy, l’humain au coeur du projet

A 45 ans, Mathilde Le Roy porte une grande importance à l’entrepreneur en tant que personne. « Les entrepreneurs passent par toutes les difficultés : business, santé, personnelle, burn-out etc ». Pour les accompagner, Mathilde Le Roy propose de mettre en place des coachings, de faire appel à des psychologues par exemple. L’objectif étant de « reconnaître que l’entrepreneur peut avoir des phases difficiles ».  

Cette bienveillance envers l’humain, elle la développe depuis 8 ans à travers son expérience entrepreneuriale. En 2015, après des études de commerce, Mathilde Le Roy crée sa startup : KAZoART, une plateforme de vente d’art en ligne. Son objectif principal est de démocratiser l’art, d’en donner l’accès au grand public.

Outre le bien-être de l’entrepreneur, elle souhaite « acter le fait qu’il y a, en ce moment, une forte baisse de financements dans la tech ». Également, Mathilde Le Roy assure que la « mesure d’impact est devenue quelque chose d’incontournable, et ce quel que soit le secteur dans lequel l’entreprise se trouve ». Animée par l’entrepreneuriat, la jeune femme se dit prête à donner de son temps pour la French Tech. « J’aime me tourner vers les autres, et promouvoir un esprit bienveillant » conclut-elle.

Mathilde Le Roy, Présidente directrice générale de KAZoART se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant entrepreneur.

Florent Pitoun, le passionné de la tech 

A 50 ans, Florent Pitoun souhaite densifier le réseau de French Tech Bordeaux en atteignant 1 000 adhérents (800 adhérents en 2022). « Bordeaux est une ville très ancrée dans l’univers du vin, il faudrait qu’il en soit de même dans l’univers du digital » expose-t-il. Passionné par le digital et l’entrepreneuriat, Florent Pitoun met l’accent sur l’éducation des entrepreneurs.

Un point sur lequel il œuvre depuis des années notamment au sein d’XPerience.immo, son entreprise qui conçoit un logiciel à destination des prometteurs immobiliers pour gérer toute leur activité. Une solution autonome qui s’occupe de la finance, du commercial et de la gestion de la relation client. Florent Pitoun n’en est pas à sa première startup. « Cela fait 15 ans que je dirige des boîtes dans la tech. Je pense que j’ai une vraie légitimité en tant qu’entrepreneur qui a monté plusieurs entreprises, qui ont fonctionné pour certaines et pas pour d’autres ».

Florent Pitoun a, aussi, eu recours à des levées de fonds avec Xavier Niel par exemple. « Ce n’est pas un objectif en soi, mais c’est un vrai moyen d’accélération » souligne-t-il. Porteur d’idées, doté d’un réseau important, Florent Pitoun veut mettre à profit sa riche expérience d’entrepreneur.

Florent Pitoun, Président directeur générale d'XPerience.immo se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant entrepreneur.Florent Pitoun

Florent Pitoun, Président directeur général d’XPerience.immo se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant entrepreneur.

 

COLLEGE ENTREPRENEUR TREMPLIN

Maud Clérice, entre diversité et inclusivité

A 40 ans, Maud Clérice projette de favoriser la mobilité des professionnels de santé et du bien-être. La jeune femme se bat pour que toutes et tous aient un accès aux soins de santé. Une ambition qu’elle retrouve dans le collège entrepreneurs tremplins de la French Tech. « L’objectif est d’optimiser les chances de tout le monde et surtout de ceux qui sont sous représentés » explique-t-elle.

Après 15 années passées sur des postes de direction et développement commercial, Maud Clérice prend le pas de l’entrepreuneuriat avec sa startup MyKlinica, plateforme de location d’espaces professionnels. Motivée et avide de réussite, Maud Clérice se définit comme une « jeune entrepreneure, qui galère, qui se bat et qui ose ». Une force mentale qu’elle veut mettre à profit au sein de la French Tech.

« La French Tech m’a permis de ne plus être seule ». Des moments de rencontres, des outils précieux, des actions pérennes, voilà ce qu’elle trouve au sein du collectif. Désormais entourée et accompagnée, aujourd’hui Maud Clérice veut « rendre ce qu’on [lui] a offert ». En d’autres termes, avoir de l’audace et conserver ce côté humain qu’elle aime tant.

Maud Clérice, PDG MyKilinicadry photographie

Maud Clérice, Présidente directrice générale de MyKlinica se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant entrepreneur tremplin.

 

REPRESENTANT GRAND GROUPE

Maxime Doreau, ou « donner l’envie d’entreprendre » 

A 39 ans, Maxime Doreau veut « donner l’envie d’entreprendre ». Quelque chose qu’il pratique lors de ses interventions auprès du jeune public notamment. « Un jour, j’ai rencontré un fondateur d’entreprise qui m’a donné énormément envie de me lancer. C’est comme ça que Feed Manager est né » confie-t-il. Une anecdote qui le mène aujourd’hui à candidater au collège grand groupe.

En 2010, Maxime lance sa société spécialisée dans la data produit. Il réalise des formats publicitaires pour aller sur les plateformes numériques existantes (Google, Facebook etc) ou encore pour distribuer des produits sur des marketplace (Amazon, Cdiscount etc). Six ans plus tard, l’entrepreneur fait le choix de vendre sa boîte au groupe Labelium, principale agence indépendante en marketing digitale en Europe. Grand groupe dont il est aujourd’hui le directeur général France. 

Avec au départ trois salariés, Labelium a su monter une stratégie de croissance externe pour pouvoir racheter des startups. « Je ne vais pas dire qu’on est parti de rien, mais presque ». Petit, devenu imposant, Maxime Doreau expose cela comme une vraie force pour sa candidature. A cela s’ajoute son expérience dans la donnée digitale et son travail à l’international qu’il souhaite partager. 

Maxime Doreau, Président directeur général de Feed Manager se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant grand groupe avec Labelium.Maxime Doreau

Maxime Doreau, directeur général France de Labelium se présente pour la 1ère fois au conseil d’administration de la French Tech Bordeaux en tant que représentant grand groupe avec Labelium.


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