Conseil régional d’Aquitaine: Des adieux en manière d’au revoir…


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Conseil régional d'Aquitaine: Des adieux en manière d'au revoir...

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 17/12/2011 PAR Joël AUBERT

Chacun, à sa manière, et Alain Rousset l’a bien dit, aura marqué la vie de l’institution : Michel Eimer en tant que délégué aux NTIC mais aussi que pivot au cœur du réseau des médias. Et Jean-Luc Mercadié en tant que Directeur Général des services depuis dix ans. L’un et l’autre, salués pour leur compétence et leur engagement au sein du service public.

Le premier qui, entre autres, du groupe Sud Ouest où il eût en charge, dans les années pionnières, le développement, se tenant toujours à « l’avant garde de la communication »,  selon le mot d’Alain Rousset ; le second venant de « l’Inspection » un grand corps d’Etat et que rien ne prédisposait, à priori, à débarquer en Aquitaine, sinon la proximité de son Lot natal, mais que le chantier qui allait s’offrir à lui allait passionner. Il y avait, il est vrai, beaucoup à faire, ne serait-ce que pour réussir l’intégration des personnels transférés par l’Etat en même temps qu’une série de compétences. Jean-Luc Mercadié allait, ainsi, avec le soutien d’élus, aussi experts en finances publiques qu’Henri Houdebert, relever ce défi qui consistait à faire passer de quelques 700 personnes à 3600, l’effectif de la collectivité territoriale, tout en réussissant à assainir les finances de la Région qui allait devenir « la moins endettée de France. » Dans son propos, en manière de bilan et sur le mode qu’il voulut « techno » Jean-Luc Mercadié s’attacha à démontrer que ce souci de rigueur avait permis l’engagement de l’Aquitaine dans une série de grands projets, se plaisant à souligner que « la collectivité régionale a ceci de magique qu’elle peut être très réactive ». C’est ainsi qu’il fut à l’origine d’une de ses initiatives qui gratifient un parcours professionnel, la mise en place de l’accès gratuit à la formation des aides soignants. L’homme, après 35 ans de service public, Etat et Région, va se consacrer désormais au sein d’une entreprise de conseil, à faire partager son expérience, en commençant par une mission auprès du gouvernement tunisien sur le thème de la fiscalité territoriale.

Quant à Michel Eimer qui se plut, publiquement, à rendre hommage à son frère Jean qui lui ouvrît les portes de l’écriture, il salua son équipe et passa, mine de rien, un message à l’assistance : « ne laissez pas le numérique au seul privé. » On lui fait confiance; de là où il se trouvera, entre Pyrénées et lectures universelles, l’esprit critique aux aguets, il saura remonter amicalement quelques bretelles….

J.A

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