Bayonne : Les Martines s’aventurent au Manoir…


Celine Hamelin

Bayonne : Les Martines s'aventurent au Manoir...

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Temps de lecture 3 min

Publication PUBLIÉ LE 05/12/2012 PAR Stéphane Baillet

@qui! – Les Martines, c’est quoi ?
Anne Paillot –
Les Martines sont nées de ma rencontre avec Marie-Barbara, créatrice de la Théière Electrik ! Nous avions une envie de proposer un événement « créateurs » inédit sur la côte basque. Un lieu éphémère où les visiteurs aient envie de flâner, de papoter, de faire leur shopping en toute liberté. D’où l’idée des ateliers culinaires et créatifs pour les enfants. Pendant que les bambins sont occupés, les mamans peuvent prendre un moment pour elles. Nous avons pensé à leur shopping, mais aussi à leur bien-être avec un nail bar, un coin fooding et différentes activités qui varient lors de chaque événement.

@! – Après la ferme, et la plage, le Manoir, comment avez vous trouvé ce lieu ?
A. P. – Nous cherchions pour Noël un lieu plein de charme, cosy et avec une âme. A force de fouiner, nous avons découvert le Domaine Larbéou un peu par hasard en fait. L’idée est de faire découvrir un nouveau lieu à chaque édition ce qui n’est pas toujours facile car les structures locales ne sont pas nombreuses.

@! – Quelles ont les nouveautés de cette édition ?
A. P. – Nous prenons possession de tout le domaine et cette fois-ci, les martines s’installent sur deux espaces : le manoir et la dépendance. Nous allons recréer deux univers et donner aux visiteurs l’envie de passer de l’un à l’autre. De nouveaux ateliers sont aussi mis en place comme le workshop relooking et celui d’impression textile. Enfin nous proposons un véritable espace de restauration pour que les martines et les martins puissent faire une pause gourmande en toute tranquillité.

@! – Est il facile de fédérer des créateurs et artistes dans la région ?
A. P. – Au début nous avons rencontré quelques réticences mais le succès aidant ,il nous est plus facile de convaincre. Nous accueillons à chaque fois de nouveaux créateurs et cette année, des toulousaines et des bordelaises font le déplacement.

@! – L’entrée est aujourd’hui payante, les Martines seraient-elles victimes de leurs succès ?
A. P. – Nous cherchons à nous distinguer des nombreuses ventes privées qui existent sur la côte basque. Pour cela, nous proposons, deux fois par an, un événement conséquent qui demande trois mois de travail et qui engendre beaucoup de frais. Nous avons certes des partenaires fidèles et investis mais si nous ne voulons pas nous essouffler et surprendre à chaque fois, il faut bien que l’on se rémunère un petit peu et que l’on crée un peu de trésorerie. Il a toujours été prévu qu’à terme l’entrée soit payante et au bout du troisième tome, nous avons estimé que les martines comprendraient notre démarche. En plus c’est l’occasion pour nous d’aider une association caritative. Cette fois -ci, nous reversons à Indian kids la moitié des bénéfices des entrées.

@! – D’où viennent les invités de vos événements, comment les sélectionnez-vous ?
A. P. – Nous sommes en permanence connectées aux réseaux sociaux où l’on déniche des perles ! De plus, Marie-Barbara est créatrice et elle participe à de nombreuses ventes dans la région mais aussi à Toulouse et à Bordeaux. C’est l’occasion pour elle de faire de belles rencontres et de nouer des contacts. De mon côté, avec mon site mes3jours.com, je commence à avoir un réseau intéressant qui me permet d’avoir une bonne visibilité de la création au pays basque.

@! – Pour vous, Noël, ça évoque quoi ?
A. P. – Je dirais la convivialité, la magie des illuminations, les bougies, un univers un peu féérique et cosy que je partage avec mes enfants et mon mari. J’espère que les Martines au Manoir refléteront cette magie et que les visiteurs ressentiront cette ambiance si particulière à cette époque de l’année !

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