Joël Aubert a fait les deux. Trois ans plus tard, je ne compte plus les articles écrits ensemble. Depuis, j’ai travaillé pour Ouest-France et le Petit Futé. Chaque semaine, je signe toujours des papiers pour Aqui. Et chaque semaine, je rencontre des acteurs de la vie régionale qui me rappellent combien le maintien d’une presse plurielle est important dans un territoire si vaste et si riche.
Un seul journal dans le Sud-Ouest, ce n’est pas possible. Un seul support non plus. Les pure-players sont plein d’avenir, mais il ne faut pas les tuer dans l’œuf. Et pour éclore, il faut des moyens.
Sans moyens, pas d’infos de qualité.
Sans infos de qualité, une Démocratie affaiblie.
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