newsletter
Devenir annonceur
1 min
PUBLIÉ LE 09/09/2010 PAR Olivier Darrioumerle
M. Huin, directeur du service des sports, comprend le choix des entreprises : » Si elles préfèrent payer 80 euros pour jouer une heure de « soccer 5″ plutôt que de payer une adhésion de 200 euros pour l’année, c’est normal : ils ne sont jamais 11 pour constituer une équipe. Le foot à 5 leur convient mieux ».
Au Jard, deux terrains en pelouse synthétique dernière génération.
L’éclosion des city-stades absorbent naturellement cette demande débordante. Le cas ne concerne pas que les entreprises. Tout le monde veut jouer au foot et la ville est obligé de refuser les projets farfelus. « Au bistrot on rêve de créer son équipe. Si on les écoutait, il faudrait leur construire des stades ! » s’amuse M Huin avant de nous rappeler la vocation de la ville: « satisfaire le plus grand nombre ! »L’intérêt général commande.
La ville de Mérignac consacre une partie conséquente de son budget à développer les installations sportives existantes. Des installations de proximité dispatchées sur les 48 km² de Mérignac et un nouveau gymnase répondant aux normes HQE pour répondre aux enjeux environnementaux. ( voir article aqui 26/04/2010 ) Et dernièrement, deux terrains de foot en pelouse synthétique de troisième génération au stade du Jard. Mais un seul créneau horaire disponible pour les amateurs de ballon rond : le mercredi soir.
Photo : Lucas.D
Olivier Darrioumerle
