newsletter
Devenir annonceur
1 min
PUBLIÉ LE 18/06/2012 PAR Lise GallitreLe centre Aliénor d’Aquitaine, c’est dix ans de travaux entre 2002 et janvier 2012 : restructuration de la surveillance continue, création d’un secteur ambulatoire, refonte des étages d’hospitalisation, restructuration des blocs opératoires, intégration des activités de gynécologie de Saint-André au centre Aliénor d’Aquitaine… Pour rester dans les chiffres et les détails de cet ambitieux projet, ce centre, c’est aussi 168 lits dont 124 en obstétrique, 6 blocs opératoires, 18 salles d’accouchement, 21 places et 3 chambres mère-enfant au pôle pédiatrie. Côté personnel, 33 médecins, près de 45 internes et 110 sages-femmes se relayent jour et nuit pour accueillir et prendre en charge patientes et patients « impatients » de devenir parents. Enfin, dernier chiffre et pas des moindres, le centre Aliénor d’Aquitaine, c’est plus de 35 millions d’euros de travaux, un budget à la hauteur du dispositif d’exception inauguré ce lundi. Pour Alain Hériaud, directeur général du CHU de Bordeaux, « le résultat est là, le nouveau centre Aliénor d’Aquitaine est un très bel outil de travail pour les professionnels et un lieu de prise en charge performant pour nos patients. »
Un regroupement ambitieux mais nécessaire
Pour le professeur Dominique Dallay, chef du service de gynécologie-obstétrique et reproduction, « c’était un projet ambitieux mais nécessaire. Il montre la volonté de maintenir la maternité au centre de Pellegrin et permet aujourd’hui d’accueillir les patientes et les patients dans les meilleures conditions possibles. » En effet, le regroupement sur un seul et même lieu des trois filières (obstétrique, gynécologique et reproduction) est une opportunité régionale qui permet de rassembler l’ensemble des dispositifs de soins de la femme, de l’enfant et du couple, permettant ainsi à chacun d’être suivi de manière cohérente. Le centre Aliénor d’Aquitaine est alors le plus grand centre de maternité de la région et pour reprendre les mots d’Alain Juppé, maire de Bordeaux mais aussi président du Conseil de surveillance du CHU, « notre CHU mérite son rang et son rayonnement plus que national. »
