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PUBLIÉ LE 20/05/2011 PAR Laura JarryToast général !
Les 72 sections et structures d’Amnesty International se donnent la réplique dans le monde entier pourle 50e anniversaire de l’organisation. Partout, le fil rouge sera un toast à la liberté, un geste amical, un sourire, une façon de partager un instant ensemble tout en marquant cette célébration d’un clin d’œil à tout le travail qui a déjà été accomplit par l’organisation et le chemin qui lui reste encore à parcourir, le bout de cette route que nous pouvons faire avec elle.
En Australie, on dînera aux chandelles. En Finlande, le toast clôturera le « World Village Festival » (festival de musique du monde). Au Burkina Faso, en Belgique, au Chili, les rendez-vous ont été également pris, au travers de concerts, témoignages, débats ou encore expositions. Et la France ne sera pas en reste puisque, comme le déclare Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France : « Les droits humains sont universels, notre action ne peut avoir de frontières ».
Un appel à l’action.
Les droits de l’homme, une grande idée qu’Amnesty International continue de brandir en étendard dans chacune de ses actions. Qu’elles soient anciennes comme son soutien à la libération d’Aung San Suu Kyi ou actuelles comme sa dénonciation des violiations commises lors des manifestations pacifiques en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, ses interventions dépassent les frontières car le principe que chacun naît libre et égaux en droit ne possède aucune nationalité, s’applique à tous et ne devrait pas avoir besoin d’être rappelés.
Malheureusement, cela reste le cas, et en France comme ailleurs, Amnesty International appelle à participer aux différentes activités de l’association en faveur de la liberté d’expression, de la défense des droits civils et politiques, de la lutte contre la répression, la torture et la peine de mort. De Lille à Toulouse, de Lyon à Bordeaux, les villes françaises organisent diverses manifestations pour rappeler les droits immuables inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Une piqûre de rappel qui ne fera aucun mal, puisqu’elle est faite avec sentiment.
Laura Jarry.
Photo : Amnesty International – Tous droits réservés.
Plus d’informations sur le site d’Amnesty International.
