Un long travail de revitalisation
Avec un financement assuré principalement par les collectivités, la Caisse des Dêpôts, l’Union Européenne et les bailleurs sociaux, ces renouvellements urbains doivent participer, comme l’a fait le Grand Projet des Villes (GPV) mené de concert par les communes de la rive droite (Bassens, Cenon, Floirac et Lormont), à la revitalisation de l’ensemble de la zone pour en faire un espace à part entière du dynamisme du grand Bordeaux et empêcher que les activités ne se déroulent que sur la rive opposée. « Si nous avons obtenu ces financements de l’Etat et que les choses ont avancé aussi vite, c’est que nos dossiers étaient prêts » se félicite Jean Touzeau qui relève aussi « L’impact majeur » qu’a eu l’arrivée du tramway dans sa ville, mais constate tout de même que, malgré ces évolutions positives, les effets tardent encore à se concrétiser. Preuve en est, le taux de chômage est encore à 19% et la précarité menace toujours le développement économique du l’ensemble du secteur.
Image : J’aime la Rive Droite
Aymeric Bourlot