Les investissements publics structurants, les évolutions des formes de travail et d’emploi, les filières productives liées au numérique, les dynamiques territoriales à 10 ou 15 ans, les apports de l’immigration au développement régional, et l’incontournable travail de conjoncture régionale dressée en partenariat avec l’INSEE… Autant de sujets et grands chantiers d’études sur lesquels le CESER se propose de donner son avis. Un avis éclairé à destination non seulement des institutions et collectivités mais aussi à l’ensemble des acteurs s’intéressant à ces questions diverses et variées. Autre sujet devant être traité cette année par les membres du CESER, « les attentes et impacts liés à la LGV GPSO au sud de Bordeaux ». Une thématique qui à coup sûr éveillera les passions et témoigne dans le même temps de l’acuité des questions qui occupent les membre de ce conseil consultatif.
« L’intelligence territoriale »Eveiller les passions, participer au débat, tel est bien le rôle, du CESER depuis 40 ans. Un rôle de « construction du débat », que souligne Luc Paboeuf, Président du CESER et ardent défenseur de cette « démocratie moderne » qui ne fait place dans le débat public, « pas qu’aux élus, mais aussi aux citoyens organisés en corps intermédiaires ». Un Président du CESER qui, dans le contexte de la réforme territoriale espère fortement que « le rôle essentiel des CESER » soit bel et bien réaffirmé au travers pourquoi pas de « la notion d’intelligence territoriale ».
Dès le 24 janvier, les enjeux liés à la prévention des risques naturels en Aquitaine, feront l’objet d’une présentation publique, puis le 19 février, ce sera le tour du rapport sur les filières productives liées à l’énergie face à la transition énergétique d’être rendu public. Encore une année à 1000 Volts pour le CESER d’Aquitaine !