Entre les lignes: Le fabuleux Festin du patrimoine aquitain


Le Festin

Entre les lignes: Le fabuleux Festin du patrimoine aquitain

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 18/09/2013 PAR Lise Gallitre

Dans l’édition de l’automne 2013 sortie récemment, c’est la Maison cantonale de Bordeaux qui trône en couverture. Située dans le quartier de La Bastide sur la rive droite de la Garonne, l’historien Robert Coustet la présente comme  » l’un des rares exemples d’architecture de transition entre Art nouveau et Art déco « . Bergerac, les maisons d’écrivains en Pays basque, la presqu’île d’Ambès et l’architecture contemporaine de Pau composent également ce 87ème numéro du Festin, quelques 126 pages où bons mots et photos dignes de ce nom parlent du patrimoine aquitain comme il se doit. Depuis 1989 le succès de la revue ne se dément pas et, pour reprendre les mots de Xavier Rosan, directeur de la publication du Festin,  » le classement de Bordeaux au patrimoine de l’Unesco et l’attrait de la ville et du Sud-Ouest en général depuis quelques années sont pour nous des aubaines éditoriales; le Festin met en lumière ce qui plait et ce qui attire les aquitains et les touristes et il y a à faire! « .

Quand l’attrait du Sud-Ouest inspire Le Festin En plus des revues trimestrielles, Le Festin édite une trentaine de titres par an, hors-séries, catalogues d’expositions en Aquitaine et ouvrages littéraires. Cette rentrée est de ce fait marquée par la sortie récente du second hors-série intitulé  » l’Aquitaine monumentale  » dans lequel il est question du patrimoine maritime et industriel, des arènes et des haras ou encore des sites de pélerinage, l’occasion de (re)découvrir une Aquitaine qui ne cesse d’attirer et de séduire. S’il est d’ailleurs un numéro qui a particulièrement séduit les lecteurs, c’est bel et bien celui consacré à Bordeaux ( Bordeaux en 101 monuments ), vendu à plus de 60000 exemplaires, aujourd’hui réédité sept fois et traduit en anglais et en espagnol,  » l’effet Unesco  » selon X.Rosan. Composée d’une dizaine de personnes, l’équipe du Festin travaille alors avec plusieurs plumes et des photographes réguliers, toujours dans le souci d’élaborer, éditer et vendre une revue d’art. Côté chiffres, chaque parution se vend 15 euros, qu’il s’agisse des trimestrielles ou des hors-séries; ce prix de vente est permis grâce à des subventions apportées par divers partenaires publics ( Conseil Régional, DRAC et les différents conseils généraux des régions aquitaines ) et des recettes publicitaires.

Voici donc en quelques mots les ingrédients d’un Festin qui donne faim aux aquitains.

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