newsletter
Devenir annonceur
1 min
PUBLIÉ LE 26/06/2017 PAR Anne-Lise DurifPourquoi étendre Horizon Chine au reste de la région ? « Plus on est nombreux, plus on est fort et plus les affaires marchent », observe la vice-président du département Sylvie Marcilly, fraîchement nommée présidente de l’association, aux cotés de l’autre vice-présidente Françoise de Roffignac (trésorière) et du conseiller départemental de la Charente Jean-Hubert Lelièvre (secrétaire). Une vingtaine d’entreprises locales travaillent aujourd’hui de façon régulière avec la Chine et certaines ont augmenté jusqu’à 35% leur chiffre d’affaires. De quoi susciter des envies par ailleurs…
Pour l’instant, Horizon Chine s’est essentiellement concentrée sur les filières de l’agroalimentaire, du nautisme, du thermalisme et de la filière équine. Pour se faire, elle s’est associée les compétences de l’Association régionale de des industries agroalimentaires (ARIA) du Poitou-Charentes, l’agence Business France et les Chambres de commerces et d’industries. Partenariats qu’elle a renforcés avec la création d’Horizon international et qu’elle compte bien développer en s’agrandissant aux autres départements, notamment avec les associations culturelles ayant des liens avec l’étranger (comités de jumelages, etc.) ou ayant des projets à l’international. Les villes de Saintes et de Rochefort ont par exemple été mises dans la boucle pour leur projet d’accueil d’une grande exposition de très vieilles céramiques et d’art chinois ancestral l’an prochain.
Parmi les projets d’Horizon International de 2017 : une préparation et un accompagnement des entreprises au SIAL de Montréal en 2018, ainsi qu’au salon de l’agroalimentaire de Dubaï en septembre prochain. L’association va également plancher sur l’accompagnement de la Charente pour exporter en Chine ses savoir-faire dans le domaine de l’imagerie (Pole Image, écoles de la BD, du jeu vidéo, du documentaire, etc.). Objectif à terme : faire passer la région de la 8e place en tête des régions françaises les plus exportatrices et surtout rééquilibrer le ratio PME / grandes entreprises dans le milieu de l’export, les grandes entreprises représentant pour l’instant les 2/3 des exportations à l’étranger au niveau régional.
