newsletter
Devenir annonceur
2 min
PUBLIÉ LE 11/05/2017 PAR La rédactionPatron sérieux, drôle, gestion du stress en entreprise, méthodes de management, prise en compte robotique dans la gestion, motivations actuelles des entrepreneurs : toutes ces questions seront abordées pendant toute la soirée au travers d’un programme composé d’invités… inhabituels dans des conférences d’entreprises. Le Rocher de Palmer et ses jardins seront d’abord un moment propice aux échanges et aux rencontres et un cadre idéal pour réunir tous les participants dans une Garden Party, avant de réellement débuter les hostilités. Trois têtes d’affiche composeront autant de modules sur scène dès 20h30.
Bruno Bost, chef d’entreprise bordelais exerçant à Mérignac et improvisé comédien et humoriste se glissera dans la peau d’un patron bien particulier, son personnage Tony Rostini dans lequel il a mis plusieurs inspirations personnelles, notamment ses racines italiennes. Son professeur, spécialiste de la « psychologie des patrons », rien que ça, doit les soumettre à une expérience de « stressomètre », où toutes les choses du quotidien qui les agacent dans leur vie professionnelle. Le personnage est volontairement grande gueule, un peu caricatural mais surtout, d’après les échos, plutôt léger et drôle. Jean-Pierre Pindat, son metteur en scène et lui même dirigeant d’entreprise (Expresso Service), sera aussi sur la scène ce soir là, de même que Bernard Claverie, directeur de l’ENSC (École Nationale Supérieure de Cognitique) de Bordeaux.
Après ces deux heures de spectacle et d’échanges, la garden party continuera à partir de 22h30, quelques mètres plus bas, histoire de clôturer la soirée autour d’un dernier verre. Le tarif de la soirée respecte lui la philosophie des patrons : 80 euros le ticket, 70 à partir de dix places achetées et cinquante à partir de vingt places. Comme c’est en juin, il reste encore plusieurs places mais une seule adresse pour s’inscrire : www.weezevent.com/le-patron-dans-tous-ses-etats. Si on devait ajouter une dernière chose, on dirait que l’édition 2016 était plutôt sympathique et conviviale, et que c’était l’occasion de montrer qu’un champion de roller (dont on n’était pas forcément fan au premier abord) savait aussi se marrer. Et puis ça ne fait pas de mal, parfois, de sortir la tête du boulot, non ?
