La deuxième édition de l’Université de médecine naturelle (bien) vue par ses visiteurs


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La deuxième édition de l'Université de médecine naturelle (bien) vue par ses visiteurs

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 12/09/2010 PAR Solène MÉRIC

Pour Joelle et sa maman Jeanine, c’est la première fois qu’elles venaient à l’Université d’été de médecine naturelle. Croisées à la sortie d’un atelier consacrée à la place de la douleur dans l’art, elles sont toutes les deux emballées du débat qu’elles viennent de quitter. Même si le grand regret de Joelle est « de ne pas avoir pu venir à la première édition », elle n’est pas déçue de la qualité des interventions. « Je trouvais le thème de l’an dernier sur la médecine par les plantes plus « tentant », mais pour ne pas rater l’événement une deuxième fois, je suis quand même venue cette année et vraiment je ne le regrette pas. C’était très enrichissant d’entendre les points de vue de chacun des artistes présents. » Jeanine aussi a apprécié : « un des intervenants a choisi de parler de la douleur du point de vue de l’histoire de l’art, c’était vraiment très bien et j’ai appris beaucoup de choses! »

« Enrichissant et constructif »Le Domaine de Grenade
Maïté, déjà présente l’an dernier pour la première université de la médecine naturelle, est toute aussi enthousiaste sur la qualité des débats proposés. « C’est chaque année, très enrichissant et très constructif de participer à cette Université de médecine naturelle. Les débats et les conférences sont bien structurés et chacun respecte le point de vue de l’autre. » Il vrai que dans ce décor un peu magique du Domaine de Grenade, tout se fait dans le calme et la bonne humeur, les débats sont sereins et le public prend visiblement plaisir à y participer, à passer d’un atelier à un autre ou à opter, entre deux conférences, pour une balade dans le parc du Domaine. Pourtant, forte de son expérience de l’an passé, Maïté note un point négatif et trouve que le thème de la douleur abordé cette année, s’il reste « très bien traité par les intervenants », « limite le champ des interventions ». « L’an dernier, et c’était vraiment un point positif, il y avait une plus grande diversité dans les médecines représentées par les intervenants. Je ne sais pas si c’est lié à ça ou à la « gravité » du sujet, mais il me semble qu’il y a un peu moins de monde cette année… »

« Echanger et faire avancer les choses »
Pour d’autres par contre ces deux jours sont l’occasion de s’apercevoir que « c’est fou tout ce que l’on peut dire sur la douleur ! Que ce soit d’un point de vue médical, culturel, psychologique…». Ces mots, ce n’est pas un visiteur comme les autres qui les prononce puisqu’il s’agit de Jean Suhas, le Président de l’association des Savoir Faire d’Aquitaine. Pour lui, cette deuxième édition de l’Université du domaine de Grenade confirme le sentiment laissé par la première : « un lieu de rencontres où le titre des gens n’a pas d’importance. Etre là, échanger, comprendre et faire avancer les choses, c’est ça qui est important car c’est en comprenant mieux les autres qu’on se comprend mieux soi même. » Un énoncé à méditer jusqu’à l’année prochaine.

Solène Méric

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