La nouvelle gouvernance de French Tech Bordeaux est désormais connue à l’issue de l’élection du conseil d’administration clos ce 30 juin à midi. Seize entrepreneurs s’étaient portés candidats. 342 entrepreneurs se sont mobilisés pour voter, soit 45% de votants.
Pour le collège entrepreneur(e)s les cinq élus sont Fiona Fauvel (Dealcockpit) avec 119 voix; Mathilde Le Roy (KazOart) 238 voix; Elena Poincet (Tehtris) 188 voix; Sébastien Roche (Optim.aize) 120 voix et Victor Douek (Sellsy) 144 voix.
Le représentant du collège grands groupes est Maxime Doreau (Groupe Labellium) avec 312 voix. Et pour la catégorie tremplin c’est Maud Clérice (MyKilinica) qui est éue avec 129 voix.
Siègent aussi trois membres fondateurs: Bordeaux métropole représentée par Delphine Jamet; la région Nouvelle-Aquitaine représentée par Mathieu Hazouard et la CCI Bordeaux-Gironde représentée par Patrick Séguin.
Il reste maintenant à désigner le président parmi ces élus, lors du premier conseil d’administration qui est programmé fin août. En principe c’est le candidat qui a recueilli le plus grand nombre de suffrages qui devient président, sauf si celui-ci n’a pas la disponibilité suffisante pour assumer cette fonction.
Les sept entrepreneur(e)s sont élu(e)s pour un mandat bénévole de deux ans, renouvelable une fois. Le board ainsi constitué définit les orientations stratégiques de l’association mises en oeuvre par l’équipe de salariés dirigée par Philippe Métayer.
La French Tech, quesako ?
Il s’agit d’un écosystème qui réunit des startups, des investisseurs, des décideurs et des community builders (bâtisseurs de communautés). L’objectif de French Tech France est de faire du pays un des plus attractifs au monde pour les startups innovantes notamment dans le secteur du numérique. Plus qu’un simple collectif, French Tech est un label attribué par les autorités françaises. Le conseil d’administration fédére et mobilise l’écosystème.