Cycle Goya à l’insitut Cervantes de Bordeaux jusqu’au 23 octobre.


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Cycle Goya à l'insitut Cervantes de Bordeaux jusqu'au 23 octobre.

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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 24/09/2010 PAR Olivier Darrioumerle

 « L’exposition des disparates de Goya et les nouveaux disparates » est un lien emblématique entre Fuendetos où Goya est né et le bâtiment de l’institut Cervantes à Bordeaux, cours de l’intendance, où il est mort après y avoir vécu ses dernières années d’exil. Les 22 disparates de Goya prêtées à l’Institut Cervantes sont rentrées à Fuendetodos. Reste « les nouveaux disparates », 30 estampes contemporaines. Un dialogue entre le passé et le présent. Les disparates (absurdité en espagnol)  est une série de gravure inachevée ( 1819-1823). On y retrouve la créativité de Goya et sa critique sociale et politique de la monarchie absolue de Ferdinand VII.

Des artistes contemporains sur le thème de l’oeuvre la plus énigmatique de Goya, les disparates.
Les disparates est l’oeuvre la plus difficile à interpréter. Si les experts s’arrachent les cheveux, l’ambiance burlesque et libertine du carnaval de cette série de Goya a inspiré les artistes contemporains. Ils ont exploité des techniques classiques ( eau forte, aquatinte ou sérigraphie ) ou subversives. Ricardo Calero a tiré une balle de 9 mm dans une toile. Dispara en espagnol : tirer un coup de feu. Une anamorphose du chien de Goya ou les ailes de « Modo de volar » en ombre sous des collages sont des clins d’oeil au génie du peintre aragonais.


OD

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