SODI lauréate du 1er Challenge Mase Awards Sud-Ouest


MASE Sud Ouest

SODI lauréate du 1er Challenge Mase Awards Sud-Ouest

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 06/07/2018 PAR Sybille Rousseau

En 1996, l’association MASE – Manuel d’Amélioration de la Sécurité des Entreprises – voyait le jour pour aider les entreprises adhérentes à instaurer de bonnes pratiques au sein de leur structure en matière de santé, de sécurité et d’environnement à travers une certification émanant d’un référentiel précis.
« Cette certification consiste ainsi à aider les adhérents à mettre en place un système de management adapté à leur entreprise, à mieux s’organiser et à mieux communiquer, pour améliorer les conditions d’intervention des salariés, et pour mieux gérer les risques liés à la coactivité particulièrement pour les sites à procédé industriel », précise Philippe Michiels, le président du Mase Sud-Ouest. Des bonnes pratiques pour tous Aujourd’hui, plus de 600 entreprises en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie adhèrent au MASE Sud-Ouest. « Un des buts de notre association est également de faire se rencontrer les entreprises afin qu’elles dialoguent entre elles, échangent autour des bonnes pratiques et des mauvaises. Ainsi, nous gagnons du temps grâce aux expériences des unes et des autres. Il n’y a pas de honte à copier ce que fait le voisin ! »
Dans cet esprit-là, le 19 juin dernier, 350 chefs d’entreprise et responsables membres de l’association MASE se sont réunis pour échanger mais aussi et surtout élire le lauréat du 1er Challenge MASE Awards Sud-Ouest. « Cette initiative est née de la volonté de mettre en évidence et, ainsi, faire connaître des outils créés par nos entreprises adhérentes qui facilitent grandement le travail des salariés. SODI, un exojacket pour le bien être des salariés Et c’est l’entreprise girondine SODI située à Ambarès qui a décroché cette première récompense. Elle est spécialisée dans le nettoyage industriel avec pistolet équipé d’une lance de jet d’eau à très haute pression. « Le poids et l’intensité de la pression de l’eau peuvent engendrer des douleurs au dos, des fatigues répétées, des traumatismes dans le corps pour les salariés », détaille Philippe Michiels. Afin d’éviter ces phénomènes, cette entreprise a mené une étude poussée en 2016 et a créé cinq prototypes qu’elle s’est attachée à tester. C’est ainsi que l’exojacket est né en 2017. « C’est un dispositif d’exosquelette, une espèce de baudrier permettant de contrôler la puissance du pistolet et de bien se tenir ». Cette année, six agences s’en sont équipées.

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