Pibal et moi, c’est fini (en vidéo)


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Pibal et moi, c'est fini (en vidéo)

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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 04/01/2014 PAR Armelle Hervieu

Deux mois, c’est court. Suffisamment long cependant pour se faire une opinion sur un compagnon de route. Surtout lorsque l’on passe ses journées ensemble. Pibal et moi, depuis le 8 novembre, jour où la mairie de Bordeaux a eu la gentillesse de me le prêter pour un essai ainsi qu’à une poignée d’autres cyclistes acharnés, on ne s’est plus quittés. Je n’ai pas compté combien mais on en a fait des kilomètres tous les deux. A coup de Mérignac-Cenon (jusqu’en haut de la côte des Quatre Pavillons), en mode aller-retour, lui et moi on n’a pas fait semblant de se fréquenter.

Je me souviens encore, comme si c’était hier, du jour où je l’ai pris pour la première fois en main. Mon beau compagnon aux roues jaune d’or, il m’attendait élégament posé sur sa petite béquille dans la cour de la mairie. Il avait fier allure. Et moi je n’étais pas mécontente de laisser mon vulgaire B’Twin de Décathlon à la maison. Dès les premiers coups de pédale, j’ai compris à qui j’avais affaire : une véritable star. Pas un jour ou presque de notre vie commune où l’on ne se soit retourné sur notre passage ! 

 Mon avis de modeste testeuse en vidéo

 

 Ce qui me faisait craquer chez Pibal– ses roues jaunes si lumineuses
– son allure si séduisante et remarquable, son petit côté Brad Pitt du vélo
– sa robustesse
– ses phares qui s’allument instantanément quand on pédale
– son repose pieds près du sol qui permet de poser un sac ou d’embarquer un petit passager sur une courte distance

Ce que je n’aimais pas chez Pibal – ses roues jaunes si salissantes
– ses vitesses qui passent à tort et à travers sans que l’on ait choisi de les passer (et notamment lorsqu’on est pressé et qu’on accélère en montée)
– sa béquille minuscule qui ne sert presque à rien
– les fils de ses phares trop fragiles et exposés
– son antivol intégré en U pas pratique à utiliser du tout

Nous n’avons pas tous le même avis sur Pibal.La preuve… Voici ce qu’en a pensé l’une de mes collègues testeuses, Alice Lacombe, au micro de Charlie Duplan, confrère de France Bleu Gironde.


C’était il y a deux mois, lorsque notre histoire a débuté. Voici Pibal raconté par Alain Juppé lors de sa livraison aux testeurs. C’était le 8 novembre 2013, dans la cour de la mairie de Bordeaux.

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