Innoveox propose une solution technologique clé en main aux industriels pour le traitement et la valorisation des déchets toxiques (résidus pétroliers, huiles, solvants, pesticides) particulièrement innovante, qui transforme ces déchets en eau (non potable). C’est le procédé de l’Oxydation HydroThermale en milieu Supercritique (OHTS) à énergie positive. Une technologie brevetéé, développée par le CNRS, actionnaire de la société. Lors du procédé de destruction des déchets, l’oxygène injecté génère une réaction d’oxydation qui détruit de façon immédiate la matière organique toxique. Autre intérêt, l’énergie qui est produite en surplus lors du traitement peut être valorisée.
Un immense marché « Les besoins sont immenses, pas uniquement sur la Nouvelle Calédonie, mais également pour les Fidji ou la Nouvelle Zélande qui ne peut légalement incinérer ces déchets industriels toxiques. Notre technologie va clairement dans le sens de l’économie circulaire », souligne Jean-Christophe Lépine, le PDG d’Innoveox. Le marché mondial d’Innoveox est considérable : 25 millions de tonnes de déchets industriels toxiques. Avec à clé un chiffre d’affaires potientiel de six milliards d’euros, dans la pétrochimie, la chimie et la santé. Actuellement, ces déchets sont collectés, transportés et traités le plus souvent par enfouissement ou par incinération. Or, ces deux méthodes sont loin d’être satisfaisantes d’un point de vue environnemental.